Le projet


Nous sommes les élèves d'une classe de seconde du lycée de Pointe Noire en Guadeloupe. La Guadeloupe dispose d'un site géologique remarquable: le volcan de la soufrière. Pour exploiter ce site un projet de téléphérique et de parcs de loisirs a vu le jour. Nous nous demanderons s'il s'agit d'un projet de développement durable pour la Guadeloupe. Pour cela nous réaliserons un documentaire.


Chaque semaine un nouveau thème de recherche nous permettra d'approfondir nos connaissances pour nous faire un avis sur la question. Retrouvez le classement de nos articles dans chaque thème dans les catégories sur la barre latérale du Blog.


Voici un aperçu de la création du téléphérique et du musée culturel.Le téléphérique montera jusqu'au parking végétalisé qui sera agrandi pour accueillir plus de 300 véhicules et le musée culturel sera composée d'un restaurant de 100 places, d'un lieu de sensibilisation aux risques naturels : éruptions, séismes, tsunamis, cyclones. Voici un aperçu du musée:

Et d'un cinéma en 4D qui lui permettra d'entrer dans le classement des plus grands complexes touristiques dans le monde, la Guadeloupe sera la première dans les Antilles a disposer de cet équipement moderne et ludique. Cela permettra de vivre une expérience unique en plongeant le spectateur dans une éruption et en le faisant ressentir de nouvelles sensations cinématographiques (fumées, chaleur, vent et certaines odeurs).


mercredi 26 décembre 2012

Qu'est ce que la biodiversité ?

La biodiversité est un terme générique pour désigner la diversité et la richesse en espèces vivantes qui peuplent la Terre, un territoire ou un écosystème. Cette notion s'applique aux différentes espèces végétales et animales.
La biodiversité prend en compte la variété des espèces ainsi que la diversité des gènes au sein d'une même espèce.

valentine

mercredi 5 décembre 2012

Compte-rendu de séance: module filmique.

Bonjour a tous,

Ce mardi 27 Novembre 2012,nous avons fait un cours sur le module filmique au lieu de notre TP (travaux pratique) habituel. Nous avons apres avoir former des groupes de 4 ou 5,pour objectif de faire un mini reportage de moins de 2 minutes sur notre lycée.Le defie etait de taille car il fallait le realiser pour le jeudi 29 novembre 2012 soit 2 jours avec le contrainte suivante:                                                       
  -Très peu de panoramique et de zoom
                                                                          
- Durée d'un plan fixe 2 à 4 secondes
                                                                                
-Ne pas filmer les elèves(droits a l'image)
                                                                 
- Présenter au moins une interview

- Pas de montage

- Le documentaire sera récité directement a l'oral pendant le projection
Le jeudi nous avons debriefer sur les reportages et en avons conclus que pour un premier repotage la classe s'en etait bien en sortit, même si nous avons eu des problèmes de coordinations entre l'image et le son, la camera qui bougeait trop etc. Ce premier repotage a donc ete très utile et nous a permis de voir a quoi nous devons nous attendre
                                                                      

dimanche 25 novembre 2012

Des exemples de développement durable en Guadeloupe: une centrale solaire

L'engouement   pour le développement durable  favorise  le développement  de l'énergie solaire ( panneau  photovoltaïque ). Et justement, j'ai trouvée l'image  d'une centrale solaire privée de guadeloupe que voici :





 Emma.N

sources:Google images, les énergies de demain



mercredi 21 novembre 2012

Des exemples d'action pour le développement durable: le vélib'

Vélib’ (mot-valise, contraction de vélo et liberté) est le système de vélos en libre-service de Paris disponible depuis le 15 juillet 2007. Mis en place par la Mairie de Paris, il est géré par le groupe industriel JCDecaux qui décline à cette occasion une version parisienne de son système Cyclocity. Par extension, « vélib’ » désigne le vélo lui-même.
Disponible, dans un premier temps, uniquement dans Paris, le système a été déployé, à partir de début 2009, dans trente communes de la petite couronne pour atteindre progressivement le chiffre d'environ 20 000[réf. nécessaire] vélos répartis sur 1 208 stations dont 238 en proche banlieue. Comptant environ 224 000 abonnées à l'année, mi-2012, qui représentent 76 % des usagers, Vélib’ a été utilisé pour plus de 119 millions de trajets entre mi-juillet 2007 et fin octobre 2011. En moyenne, environ 110 000 locations sont effectuées chaque jour avec un maximum de 135 000. Cela est possible à l'échelle de certaines régions de France mais peut être pas partout en Guadeloupe cependant cela permet de limiter le taux de CO2 et ça favorise la pratique d'activité physique .

Marple.E 
Station à proximité du métro Sévres-Lecourbe sous le viaduc de la ligne 6.

lundi 19 novembre 2012

Des exemples d'actions pour le développement durable en Guadeloupe: la distillerie Bologne.

J'ai trouvé un article intéressant sur les rejets des distilleries de la canne à sucre en Guadeloupe.
Bonne lecture à tous!..

La distillerie Bologne en Guadeloupe : modernité et technologie verte


Le processus de distillation de la canne à sucre pour produire du rhum génère d’importants rejets polluants. Les vinasses (résidus liquides de distillation) sont traditionnellement rejetées à la mer et acidifient les milieux aquatiques. La bagasse (résidus de cannes broyées), quant à elle, est habituellement brûlée pour produire la chaleur nécessaire aux moulins et aux colonnes de distillation, mais cette combustion génère un taux important d’imbrulés et nécessite un traitement coûteux des fumées. Chaque année, la fabrication du rhum en Guadeloupe entraîne une production de près de 5 800 m³ d’alcool pur, générant entre 1450 et 8700 tonnes de vinasses. Les enjeux environnementaux de la gestion des déchets de distillation du rhum sont considérables.
Ainsi, lorsqu’elle s’est engagée dans une modernisation de ses installations fin 2004, Bologne SA, distillerie de rhum de Basse-Terre en Guadeloupe, a opté pour un traitement intégré des déchets de la distillerie, ce qui lui permet désormais de valoriser ces déchets, tout en maîtrisant ses impacts environnementaux. La bagasse est incinérée dans une chaudière plus performante permettant de subvenir aux besoins thermique et électrique de la distillerie. Un processus de fermentation biologique est maintenant utilisé pour générer, à partir des vinasses, du biogaz valorisé en électricité. Les résidus de ce procédé (méthanisation) sont épandus et servent d’amendement organique, tandis que l’eau polluée est traitée sur le site de la distillerie et réutilisée. Désormais auto-alimentée en électricité, la distillerie réinjecte la majeure partie de sa production électrique dans le réseau EDF qui rachète cette électricité verte. Cette production électrique permet d’alimenter l’équivalent de quelques 80 foyers.

Benjamin .B 

dimanche 18 novembre 2012

Des exemples d'action pour le développement durable en Guadeloupe: le tri sélectif

J'ai trouvé dans le France-Antille du 16/10/12 un article :7500 BACS DISTRIBUÉS

Ainsi, le partenariat avec Éco-emballages permettra à la CANBT, d'ici la fin de l'année, de mettre en place la collecte sélective en porte à porte dans les communes de Pointe-Noire et Petit-Bourg, adhérentes à la structure.

De son côté, Baie-Mahault, avec ses 30 000 habitants et ses 4 000 entreprises s'est engagée à équiper d'un bac de collecte sélective jaune l'ensemble des foyers résidant en habitat résidentiel dense soit prêt de 7 500 bacs au total pour 19 300 habitants.

Ce nouveau dispositif de tri devrait permettre de collecter plus de 500 tonnes d'emballages et journaux en plus du dispositif d'apport volontaire déjà mis en place.

Katharina C.

mercredi 14 novembre 2012

Des exemples d'action pour le développement durable en Guadeloupe: la priz'éco

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Priz'éco :Des économies sur les factures 
La Priz’Eko est une multiprise intelligente qui supprime les consommations de vos appareils audio ou informatiques en mode veille.
De plus cela ne coute pas cher , seulement 10 euros alors tentez le coup !

E.Marple

 

Un exemple d'action pour le développement durable en Guadeloupe: économiser l'eau.

Photo


Economie d'eau et d'énergie avec « Hydro'Eko »En partenariat avec l'Office de l'Eau et la Générale des Eaux, EDF Archipel Guadeloupe a lancé une gamme d'économiseurs d'eau baptisée « Hydro'Eko ». Objectif : faire des économies sur sa facture d'énergie.

Cette article a été prit sur internet qui parle d’économie d’eau et on gagne sur notre facture.Lionel.L

Des exemples d'actions pour le développement durable: la récupération de l'eau de pluie.

Source: Wikipédia 

La récupération d'eau de pluie consiste en un système de collecte et de stockage de l'eau pluviale dans la perspective d'une utilisation ultérieure. La mise en place d'une installation dédiée, qui peut varier dans sa complexité suivant l'utilisation finale, est nécessaire à la satisfaction de cet objectif.
Les motivations sont le plus souvent d'ordre économique ou écologique.











La récupération d'eau de pluie peut se faire à plusieurs destinations.

 Dans les utilisations non comestibles :

  • Alimentation d'un « jardin pluvial » épurant l'eau avant de l'infiltrer vers la nappe (éventuellement en sortie de trop-plein d'une citerne de récupération)

  • Nettoyages divers (sols, extérieur...).

  • Arrosage des plantes, pelouses (principalement l'été en période de restriction d'eau), lavage voiture, mise à niveau de la piscine ;


On constate que l'eau de pluie a des caractéristiques bio-chimiques assez proches d'une eau potable et même bio-compatible sans aucun traitement.




                               
Poster par Leïla.C



Des exemples d'actions pour le développement durable: que peuvent faire les entreprises?

L'entreprise met en oeuvre des moyens dans le cadre de son activité pour préserver le milieu :

  • Limiter les rejets polluants dans l'eau;
  • Maîtriser les filières d'élimination de nos déchets;
  • Préserver les ressources naturelles;
  • Respecter la réglementation;
  • Renforcer notre image d'entreprise éco-citoyenne;
  • Poursuivre l'amélioration de nos compétences et de notre efficience.

Des actions de sensibilisation

L'objectif est de sensibiliser le citoyen à un usage responsable de l'eau par différentes actions :

  • Remise de malles pédagogiques aux classes des écoles primaires;
  • Campagne média « devenir éco-citoyen »;
  • Visites de sites organisées pour les écoles;
  • Spots télévisés;
  • Stands et interventions lors de manifestations sur le thème de l'environnement.

Des actions sociales

L'entreprise met en œuvre des actions de renforcement des solidarités pour faciliter l'accès à l'eau pour tous : 

  • Contribuer au fonds de solidarité logement;
  • Prévenir les impayés notamment grâce aux échéanciers;
  • Entretenir des relations avec les associations et les services sociaux....
Par Elie.P

dimanche 11 novembre 2012

Où en est le tourisme en Guadeloupe?

Salut, j'ai trouvé quelques statistiques concernant le taux de touristes venus en guadeloupe, ayant visité quelques sites touristiques ou ayant fréquenté des hôtels ces dernières années.
Puis j'ai ajouté des petites images pour illustrer (sa pourrait donner envie de visiter !) :









 sources: insee, google images

Haya.JL

vendredi 9 novembre 2012

Petite caricature contre le projet.

                                         

Poster par Leïla.C

Les enjeux et les perspectives du tourisme en Guadeloupe


Avec 1 million de touristes par an qui déboursent un total de 400 millions d’euros, le poids du tourisme dans l’économie est important, il représente 10% du PIB régional, 11% de la valeur ajoutée marchande , soit autant que la canne à sucre et la banane réunies.
Les 693 établissements, hôtels et restaurants confondus, fournissent 6900 emplois salariés, soit 11% des salariés guadeloupéens.( [1] Le parc hôtelier est riche de 8000 chambres réparties en 162 hôtels.( [2] Mais le tourisme en Guadeloupe c’est aussi 5000 emplois indirects : :transports, services personnels, activités récréatives.
Confrontée à un contexte de forte concurrence, l’activité touristique doit chercher de nouvelles valeurs ajoutées pour développer l‘emploi. Elle est riche d’un potentiel quantitatif et qualitatif. La structure d’accueil des touristes, ainsi que l’offre de loisirs sont très diversement implantés, l’infrastructure reste concentrée sur deux zones littorales : Riviera et Iles du Nord. La Région et les professionnels comptent sur un accroissement de 50% de la clientèle , à travers l’accroissement des capacités d’accueil et le recentrage de la filière sur des objectifs qualitatifs. Il est envisagé de relever le potentiel touristique par le développement de nouveaux territoires de l’archipel :Nord Grande-Terre, Côte-sous-le-Vent... Pour que l’industrie touristique gagne en qualité, les professionnels s’attachent à mettre sur le marché un nouveau produit intégrant une offre balnéaire rénovée et une palette d’activités originales autour du patrimoine et des sites, qui, en signant l’authenticité de la destination, différencierait la Guadeloupe des autres destinations tropicales. Ce rehaussement des prestations touristiques pourrait avoir des retombées économiques appréciables, puisqu’il permettrait une croissance de 30% de la dépense par visiteur.








Les attentes et les modes de consommation des visiteurs ont par ailleurs évolué, il reste des niches à développer dans le domaine de l’écotourisme, du tourisme vert, de la thalassothérapie, du tourisme sportif. Alors qu’ils allaient majoritairement dans les hôtels pour profiter des plages de la Grande-Terre, la demande des touristes a évolué en matière d’habitation. Les gîtes et les chambres chez l’habitant ont la faveur des adeptes d’un tourisme vert, celui des randonnées, de la découverte de la nature et des sports de rivière(kayak et canyoning).L’île a su exploiter son patrimoine naturel et historique, pour preuve l’ampleur prise par l’écotourisme avec la visite des exploitations, des sucreries et des distilleries. Même si la côte de Gosier à Saint-François concentre les 3/4 de l’hébergement touristique, la côte sous le vent et toute la commune de la ville de Basse-Terre, du fait de la proximité du massif de la Soufrière, font aussi recette, car la nature est devenue le troisième attrait de l’île cité par les visiteurs, après la plage et le soleil.
Saint-Barthelémy, véritable paradis tropical, reste le fleuron du tourisme de luxe aux Antilles. L’île poosède des infrastructure hôtellière adaptées à une clientèle fortunée.L’autre haut lieu de la jet set est l’île de Saint-Martin, son ambiance branchée et remuante lui a valu le surnom de Saint-Tropez des Caraïbes.
Il faut mentionner l’initiative du Parc National de Guadeloupe, qui a associé les professionnels du tourisme à sa politique de développement durable de la région en délivrant une "marque de confiance" à ceux qui s’engagent à respecter un certain nombre de critères en matière d’environnement et à ceux qui s’attachent à faire valoir le patrimoine naturel de l’île.
Avec la reprise, il apparaît que le tourisme peut garantir le développement économique de l’île.

BONNOT.E